" Everything not saved will be lost,
so save it in your mind,
L'art d'apprendre l'Anglais se transformera en une liberté vitale "

Hans

L’anglais a besoin d’un coup de fouet en France

L’anglais, en plus du français, est primordial pour l’économie, le commerce, l’échange, les vacances à l’étranger, lorsqu’on travaille dans une entreprise internationale, le relationnel avec ses collègues dans d’autres pays, des clients dans d’autres pays ...

Mais comment aisément apprendre l’anglais ?

A propos

Hans

Je suis Néerlandais, 73 ans, une carrière de 40 ans dans le monde de l'informatique et la coordination internationale, dont 10 années passées aux Pays Bas, puis 30 ans en France dans la région Parisienne. Depuis 2008 à la retraite en Anjou.

Je parle couramment le français, l’anglais, le néerlandais et raisonnablement bien l’allemand.

Je suis venu en France en 1978 pour un poste à l’international. J’ai eu l’occasion de changer 3 fois de société et à chaque fois pour un poste m’amenant à me déplacer dans divers pays. Cela résulte du fait que ma maîtrise de l’anglais me donnait un sérieux avantage vis-à-vis des autres candidats.

Je me suis toujours demandé pourquoi beaucoup de personnes avaient tant de mal à parler correctement l’anglais.

J’ai longtemps étudié cette question. A l’occasion d’un déplacement à New York, dans les années 80, j’ai pu converser avec une personne assise à côté de moi. Il était spécialiste Suisse du son. Nous avons bavardé pendant tout le voyage et en me remémorant nos propos, j’ai compris d’où venait le problème. J’ai remarqué, que la langue française, qui est une langue magnifique et très douce, n’utilise presque pas de sons aigus et pas beaucoup de graves, le spectre sonore est assez limité. D’où l’oreille peu exercée aux sons anglais entre autres.

Ceci dit, j’adore la finesse et la richesse du français, je l’adore et j’aime beaucoup jongler avec les mots.

Pourquoi a-t-on du mal a apprendre l’anglais

Par conséquent un enfant qui naît en France et qui n’entend que du français a donc un cerveau qui n’est habitué qu’aux sons relativement limités en aigus et graves. Il aura donc un grand problème pour bien cerner, entendre, analyser, comprendre l’anglais quand on commence à lui parler en anglais à l’école à partir de l’âge de 11 à 12 ans. Un enfant gère merveilleusement bien d’être multilingue mais jusqu’à l’âge de 7 ans seulement, au-delà l’apprentissage est plus long et plus compliqué.

D’où le fait que quand je suis arrivé à la retraite en 2008, j’ai décidé de donner des cours d’anglais particuliers aux élèves de tous âges et des personnes en activité professionnelle. J’ai développé une méthode personnelle pour forcer la compréhension des sons plus aigus et plus graves dans le cerveau. En fait je peux dire que je réveille de force l’oreille par rapport aux sons anglais.

J’ai commencé, riche de cette expérience et à la demande des parents de mes élèves et étudiants, d’en faire un livre et pendant 2 ans je l’ai bâti afin de mieux appréhender la langue anglaise. J’étais encouragé par mes élèves qui trouvaient la méthode tellement efficace et originale. J’ai souvent des élèves qui améliorent significativement leurs notes et il n’est pas rare de les voir atteindre des 19 et même 20 sur 20 lors de contrôles d’expression orale. Une de mes élèves a tellement stupéfait sa prof qu’elle a eu 21 sur 20 !

Hans

Motivé pour faire avancer les choses

Toute mon analyse se trouve dans un rapport que j’ai écrit enrichi de recommandations et que j’envoie à chaque nouveau Ministre de l’Éducation, et ce depuis 2012.
Monsieur Jean-Michel Blanquer est le premier qui m’a répondu et en plus positivement.
Le rapport et sa réponse se trouvent également dans mon livre.
Idem de la part de Mme la Ministre Sylvie Retailleau Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, ainsi que Mr Pap Ndiaye Ministre de l’Education Nationale.